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Vade mecum

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Psyché



Répondre en citant  Mer 14 Mai 2008 | 14:42 Message

Narcissisme

Tiré de la légende de Narcisse (dont une des versions figure dans le Livre III des Métamorphoses d'Ovide), tombé amoureux de son propre reflet au point de se laisser dépérir faute de pouvoir s'en saisir, ce terme introduit par Freud en 1914 désigne la quantité d'amour portée à soi-même, autrement dit la quantité de libido investie dans le Moi. Le Moi, une fois distingué de l'Objet, devient capable d'opérer un retour sur lui-même à l'origine notamment de la constitution de l'idéal du Moi.

« L'individu en cours de développement, qui pour acquérir un objet d'amour rassemble en une unité ses pulsions sexuelles travaillant auto-érotiquement, prend d'abord soi-même, son propre corps, comme objet d'amour, avant de passer de celui-ci au choix d'objet d'une personne étrangère. » (Sigmund Freud, Le Président Schreber, in Cinq psychanalyses)

Freud définit alors un narcissisme primaire, c'est-à-dire « intermédiaire entre l'auto-érotisme et le choix d'objet », étape archaïque du développement psycho-sexuel ; ce narcissisme primaire s'opposerait à un narcissisme secondaire, qui désignerait un investissement libidinal du moi se faisant au détriment de l'investissement libidinal d'objet et reposant donc sur un moi différencié — ce qui le distinguerait du narcissisme primaire. Ce narcissisme primaire est actuellement vu comme une fiction théorique dont Lacan a démontré l'incohérence : « Le narcissisme secondaire est le narcissisme radical, celui qu'on appelle primaire est exclu. » En effet, le narcissisme, comme tel, suppose toujours et par définition la constitution du moi et son image. Lacan n'a malgré tout pas hésité à utiliser le terme bien après l'avoir dénoncé, se montrant en cela fidèle à Freud : « Il y a une étape de narcissisme primaire et ce narcissisme primaire se caractérise de ceci, non pas qu'il n'y ait pas de Sujet, mais qu'il n'y a pas de rapport de l'intérieur à l'extérieur. »

Reprise dans ses Conférences d'introduction à la psychanalyse, la métaphore du protoplasme expose de façon très intuitive la dynamique du processus acquis : « Nous attribuons donc à l'individu un progrès qui le fait passer du narcissisme à l'amour d'objet. Mais nous ne croyons pas que la libido du moi soit jamais transférée aux objets dans sa totalité. Une certaine quantité de libido demeure toujours auprès du moi, une certaine dose de narcissisme se perpétue en dépit d'un amour d'objet hautement développé. Le moi est un grand réservoir à partir duquel la libido destinée aux objets se répand, et vers lequel elle reflue à partir des objets. La libido d'objet a commencé par être libido du moi et elle peut se transmuer à nouveau en libido du moi. Il est essentiel à la plénitude de la santé d'un individu que sa libido ne perde pas la plénitude de sa mobilité. Pour concrétiser ce rapport, pensons à un animalcule protoplasmique dont la substance liquide consistante émet des pseudopodes, des excroissances dans lesquelles la substance corporelle se prolonge, mais qui peuvent être résorbées à tout moment, de sorte que la forme de la petite masse protoplasmique se reconstitue. » (Sigmund Freud, Une difficulté de la psychanalyse, in L'inquiétante étrangeté et autres essais)

Névrose

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Répondre en citant  Mer 14 Mai 2008 | 14:42 Message

Obsession

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Répondre en citant  Mer 14 Mai 2008 | 14:43 Message

Paranoïa

La paranoïa, du grec pará, à côté, et noûs, esprit, est au sens premier une maladie mentale chronique du groupe des psychoses, caractérisée par un délire d'un type particulier, dit délire paranoïaque, pour lequel il existe plusieurs thèmes récurrents. Il faut en différencier la personnalité paranoïaque, qui est un caractère particulier chez certains sujets, mais sans développement d'un délire (même si une personnalité paranoïaque peut évoluer vers une authentique paranoïa). Dans un sens dérivé, le terme paranoïa est aujourd'hui utilisé dans le langage commun ou journalistique pour rendre compte d'états comme la méfiance ou la suspicion, qui ne sont pas en eux-mêmes pathologiques.


Sémiologie
  • Les personnalités paranoïaques se caractérisent par quatre traits fondamentaux qui entraînent à terme une inadaptabilité sociale :

    • Hypertrophie du moi : cette surestimation de soi-même est au centre de la personnalité paranoïaque. Elle entraîne la mégalomanie, l'orgueil, le mépris des autres, la vanité parfois cachée derrière une fausse modestie superficielle.

    • Psychorigidité : le paranoïaque est incapable de se remettre en cause, de se plier à une discipline collective. Il a toujours raison et est autoritaire. Cette inadaptation sociale fait qu'il finit souvent par s'isoler et à privilégier les apprentissages autodidactes.

    • Méfiance et suspicion : le paranoïaque pense que les autres cherchent à le tromper car ils sont jaloux de sa supériorité. Il se sent en permanence entouré de personnes envieuses et mal intentionnées : il est donc susceptible et toujours sur ses gardes. Cette attitude peut finalement amener directement à la tromperie ou les cachotteries de la part de l'entourage, qui par retour, justifieront la méfiance… Le patient manque d'introspection, ne se remet que peu en cause, cache ses sentiments de peur que l'on ne s'en serve contre lui.

    • Fausseté du jugement : le paranoïaque suit sa propre logique, laquelle est basée sur une série d'interprétations fausses mais dont il est absolument convaincu. Il cherche d'ailleurs souvent à imposer ses opinions de manière tyrannique et intolérante à ses proches.

  • Le DSM-IV (1996) définit ainsi le trouble de la personnalité paranoïaque : état de méfiance soupçonneuse envahissante envers les autres dont les intentions sont interprétées de manière malveillante. La personnalité paranoïaque implique la présence d'au moins quatre des sept symptômes suivants :

    • Le sujet s'attend, sans raisons suffisantes, à ce que les autres l'exploitent, lui nuisent ou le trompent.

    • Il est préoccupé par des doutes injustifiés concernant la loyauté ou la fidélité de ses amis/associés.

    • Il est réticent à se confier à autrui car il craint que l'information ne soit utilisée contre lui.

    • Il discerne des significations cachées, humiliantes ou menaçantes dans les événements anodins.

    • Il ne pardonne pas d'être blessé, insulté ou dédaigné.

    • Il perçoit des attaques contre sa personne ou sa réputation, auxquelles il va réagir par la colère ou la contre-attaque.

    • Il met en doute de manière répétée et sans justification la fidélité de son conjoint.

Délires paranoïaques
  • Délires passionnels

    • Délire érotomaniaque

      Conviction délirante d'être aimé(e) par une personne, en général de statut social plus élevé, et interprétation de tous les actes de celle-ci à la lumière de cette conviction. Le délire évolue en trois phases : espoir d'être aimé et attente souvent très longue, imaginant alors que l'être aimé ne répond pas aux interventions incessantes par discrétion ; dépit lorsque la personne s'aperçoit qu'elle n'est pas aimée et enfin rancune. Lors de cette dernière phase, il faut se méfier d'un risque de passage à l'acte agressif sur l'être qui a été aimé.

    • Délire de jalousie

      Conviction délirante d'être trompé dans sa relation de couple, qui s'installe de manière insidieuse. Le malade peut faire une véritable fixation sur une personne précise, un hypothétique concurrent ou rival, professionnel ou amoureux, et cherche alors des preuves de la justesse de son délire, se nourrissant progressivement d'événement anodins, banals, mais dont chacun vient alimenter et renforcer le délire. Ici aussi, il y a un grand risque de passage à l'acte agressif sur le conjoint et le présumé amant.

    • Délire de revendication

      Il repose sur la croyance délirante en un préjudice subi, accompagné d'exaltation, de quérulence et d'agressivité. Il s'agit pour ces patients de "faire surgir la vérité" ou de punir les coupables. Il peut être judiciaire, avec recours à des procès systématiques et sans fin (quérulents processifs) ; revendication de découvertes, grandioses et délirantes, pour lesquelles la personne ne s'estime pas reconnue à sa véritable valeur (inventeurs méconnus) ; autour de la santé si la personne ne s'estime pas correctement traitée pour une maladie, le plus souvent imaginaire (délirants hypochondriaques ou sinistrose délirante, après un accident de la circulation par exemple, où la personne réclame une pension d'invalidité ou une augmentation de la rente donnée et persécute la sécurité sociale, les experts, les avocats) ; métaphysique, avec la construction de systèmes politiques ou religieux complets mais totalement délirants (idéalistes passionnés), la conviction délirante d'une ascendance illustre, souvent royale, aristocratique ou d'un personnage en vue (délire de filiation) voire l'invocation de contacts avec Dieu.

  • Délire d'interprétation

    Ce délire n'est pas centré autour d'une seule idée mais de plusieurs : il touche petit à petit tous les éléments de la vie quotidienne. A partir d'une perception ou d'une sensation réelle, le malade construit un délire systématisé, souvent de persécution, de préjudice ou de complot, dans lequel tout prend une signification personnelle pour lui : il juge intentionnel et souvent malveillant le hasard, et attribue aux événements qu'il perçoit un sens erroné. Le malade est alors convaincu qu'il est la victime de persécutions organisées, d'un complot, et passe son temps à accumuler les preuves de ce complot imaginaire. Tous les évènements quotidiens sont alors interprétés en fonction de cette conviction, et constituent pour le malade autant de preuves qui renforcent sa conviction.

  • Délire de relation des sensitifs

    Il survient chez des personnes ayant une personnalité dite sensitive, c'est à dire marquée par la méfiance, la susceptibilité, la scrupulosité, la tendance à la culpabilité, un sens élevé des valeurs morales, l'orgueil (une haute estime de soi-même, qui conduit à se considérer comme jamais suffisamment reconnu à sa juste valeur), une hyperesthésie relationnelle (hyperémotivité) entraînant une grande vulnérabilité dans les contacts sociaux et une tendance à l'autocritique, à intérioriser douloureusement les échecs. On ne retrouve pas l'hypertrophie du moi ni la quérulence présentes chez les autres personnalités paranoïaques.

    Ce délire comporte aussi des idées de persécution : le malade a l'impression d'être le centre d'attention de son entourage et est convaincu que tout le monde le juge ou parle de lui en permanence de façon négative. Les propos, mimiques, gestes sont interprétés comme des signes évidents de mépris et d'hostilité à son endroit. Le délire est en général limité au cercle proche du patient (sa famille, ses amis, ses collègues, ses voisins, etc). Il est vécu douloureusement, de manière solitaire : la personne sensitive va développer des sentiments de honte et d'infériorité par rapport aux accusations dont elle se croit victime, parfois accompagnés de plaintes hypochondriaques. Il se complique généralement d'épisodes dépressifs parfois sévères, comportant un risque suicidaire. Contrairement aux autres types de paranoïa, il n'y a pas de réaction d'agressivité envers l'entourage, peu de réaction bruyante, ni de dangerosité tournée vers autrui.
Pour en savoir plus : notre section clinique

Perversion

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Projection

« Le terme de projection, dans un sens très général en neurophysiologie et en psychologie est utilisé pour désigner l'opération par laquelle un fait neurologique ou psychologique est déplacé et localisé à l'extérieur, soit en passant du centre à la périphérie, soit du sujet à l'objet. Dans le sens proprement psychanalytique, c'est une opération par laquelle le sujet expulse de soi et localise dans l'autre, personne ou chose, des qualités, des sentiments, des désirs, voire des "objets", qu'il méconnaît ou refuse en lui. Il s'agit là d'une défense d'origine très archaïque et qu'on retrouve à l'œuvre particulièrement dans la paranoïa, mais aussi dans des modes de pensée "normaux" comme la superstition. » (Jean Laplanche, Jean-Bertrand Pontalis, Vocabulaire de la psychanalyse)

En termes plus simples : « Une perception interne est réprimée et, comme substitut de celle-ci, son contenu arrive à la conscience en tant que perception venant de l'extérieur, après avoir subi une certaine déformation. » (Sigmund Freud, Le Président Schreber, in Cinq psychanalyses)

Psychose

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Psychotropes

On appelle psychotrope toute substance naturelle ou synthétique capable de modifier l'activité mentale ou le comportement, en agissant sur le cerveau.

Ces substances ont fait l'objet de nombreuses classifications, mais la plus connue et la plus utilisée reste celle réalisée par le psychiatre français Jean Delay et son assistant Pierre Deniker en 1957, par la suite modifiée par Henri Loo. Cette classification repose sur la notion de tonus psychique qui comporte deux composantes : la vigilance et l'humeur.

  • Psycholeptiques
    Ils diminuent le tonus psychique.

    • Les nooleptiques diminuent surtout la vigilance. Ce sont surtout les hypnotiques.

    • Les thymoleptiques diminuent surtout l'humeur. On distingue d'une part les anxiolytiques et d'autre part les antipsychotiques, encore connus sous le nom de neuroleptiques.

  • Psycho-analeptiques
    Ils augmentent le tonus psychique.

    • Les noo-analeptiques augmentent surtout la vigilance. Ce sont les psychostimulants, comme les amphétamines.

    • Les thymo-analeptiques augmentent surtout l'humeur. Ce sont les antidépresseurs.


  • Psycho-isoleptiques
    Ils normalisent le tonus psychique et sont aussi appelés normothymiques : ce sont des régulateurs de l'humeur utilisés uniquement dans le traitement préventif du trouble bipolaire, comme les sels de lithium.

  • Psychodysleptiques
    Ils dévient le tonus psychique. On distingue :

    • Les hallucinogènes : LSD, mescaline…

    • Les enivrants : éthanol, éther…

    • Les stupéfiants : cocaïne, héroïne…
A noter que les médicaments psychotropes sont tous des médicaments symptomatiques : ils ne guérissent pas une maladie en agissant sur sa cause mais en réduisent seulement certains symptômes gênants pour le patient (…ou pour son entourage).
Source : Bernard Renaud, Institut des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques

Pulsion

Du latin pulsio (pellere, pulsum), "action de pousser", traduction de l'allemand Trieb (du verbe treiben) qui exprime une idée de "mise en mouvement". Trieb valorise la dimension mécanique d'une poussée mais aussi la poussée intérieure (au sens où une plante "pousse"), tandis qu'Instinkt met l'accent sur le déterminisme à l'œuvre dans ce processus de conduite. Cette nuance permis par la langue allemande a été à l'origine d'une mécompréhension de la théorie freudienne, "pulsion" ne s'étant substitué dans les traductions françaises à "instinct" qu'en 1967 grâce à l'obstination de Lacan et la parution du Vocabulaire de la psychanalyse de Jean Laplanche et Jean-Bertrand Pontalis.

La pulsion est, d'une manière générale et dans sa dynamique, un vecteur entre la psyché et le processus somatique, et ce vecteur est plus exactement le représentant psychique de l'excitation somatique endogène.
Source : Wikipédia
Psyché



Répondre en citant  Mer 14 Mai 2008 | 14:44 Message

Refoulement

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Source : MediaDico
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Répondre en citant  Mer 14 Mai 2008 | 14:45 Message

Schizophrénie

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Sources : Wikipédia, DicoPsy — Voir aussi : Psychiatrie infirmière

Scriptorium

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Sources : CNRTL, Wikipédia

Sublimation

Le terme fut conceptualisé par Freud en 1905 pour rendre compte d'un type particulier d'activité humaine (la création littéraire, artistique et intellectuelle) sans rapport apparent avec la sexualité mais tirant sa force de la pulsion sexuelle en tant qu'elle se déplace vers un but non sexuel en investissant des objets socialement valorisés. Le but de la pulsion est dévié : à la différence du symptôme névrotique, loin d'impliquer angoisse et culpabilité, elle est associée à une satisfaction esthétique, intellectuelle et sociale. Freud a ouvert la voie vers ce type d'analyse explicitant le contenu latent d'œuvres aussi diverses que Hamlet, ou le Moïse de Michel-Ange. A la fonction cathartique de l'acte de création s'ajoute un bénéfice narcissique.
Source : Wikipédia

Surmoi

Décrit comme une des trois instances de l'appareil psychique avec le Ça et le Moi dans la seconde topique freudienne en 1920, c'est la structure morale et judiciaire du psychisme, qui définit le bien et le mal et attribue les récompenses ou les punitions. Héritier du complexe d'Œdipe, il filtre les pulsions au travers de normes intériorisées.

L'apparition du Surmoi (Überich) est liée à la prise de conscience de l'existence d'une réalité extérieure : l'intégration des interdits et recommandations des parents permet à l'enfant de mieux gérer ses rapports avec le monde qui l'entoure en lui faisant faire l'économie d'expériences désagréables qu'il devrait sinon répéter ou revivre par le souvenir. Le Surmoi, partiellement inconscient, est donc un agent critique, support de tous les interdits et des contraintes sociales et culturelles. Ces normes, interdits et exigences peuvent être d'ordre éthique, social ou culturel et sont plus ou moins contraignantes en fonction de la personnalité de l'individu, de son éducation. Le rôle des parents dans cette structuration durant l'enfance est déterminant, en particulier celui du père qui représente traditionnellement l'autorité.

Le Surmoi est trop souvent perçu comme une instance uniquement punitive, presque cruelle envers le sujet tant elle se fait sévère. Freud explore dans un essai intitulé L'humour (in L'inquiétante étrangeté et autres essais) une piste tout à fait originale concernant les fonctions du Surmoi, propre à rappeler la bienveillance qui le motive : celui-ci serait, du fait même de sa capacité à prendre une distance critique vis-à-vis du sujet et des situations que celui-ci rencontre, le « médiateur de la contribution au comique de l'humour ». Le Surmoi, prenant le Moi de haut, serait une condition de possibilité de l'auto-dérision.
Sources : Wikipédia, DicoPsy — Voir aussi : Psychiatrie infirmière
Pour en savoir plus : notre section clinique
Psyché



Répondre en citant  Mer 14 Mai 2008 | 14:45 Message

Tabularium

Le Tabularium était le bureau officiel des archives de la Rome antique (de tabulae, tablettes). Il fut également siège de nombre de bureaux pour les fonctionnaires de la ville. Par extension, ce nom désigne des bâtiments contenant des archives.
Source : Wikipédia

Transfert

Le transfert est le terme originellement utilisé par Freud pour désigner le processus par lequel le patient fait inconsciemment du thérapeute l'objet de réactions affectives, dirigeant ainsi vers celui-ci des réactions qu'il aurait pu avoir vis-à-vis des personnes qui ont joué un rôle important au cours de son enfance. C'est à l'occasion de l'échec du traitement cathartique d'Anna O. avec J. Breuer que Freud a été amené à découvrir et à prendre en compte le phénomène du transfert et a alors renoncé à l'hypnose. On distingue le transfert positif du transfert négatif, qui peut être la cause de résistances. Le transfert positif est fait de sentiments amicaux et tendres ; à l'inverse, le transfert négatif est fait de sentiments de frustration, de colère… Cette distinction reste purement théorique, le transfert s'avérant dans la réalité ambivalent.

L'établissement de ce lien affectif intense est automatique, incontournable et indépendant de tout contexte de réalité. En dehors du cadre de l'analyse, le phénomène de transfert est constant dans toutes les relations, mais l'analyste doit être conscient de la nature du transfert de son client et doit également comprendre la nature du contre-transfert qu'il opère lui-même en réaction.
Source : DicoPsy
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Répondre en citant  Mer 14 Mai 2008 | 14:56 Message

Vade mecum

Recueil contenant des renseignements sur les règles d'un art ou d'une technique à observer ou sur une conduite à suivre et qu'on garde sur soi ou à portée de main pour le consulter.
Source : CNRTL

Vidal

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Source : Wikipédia
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