Aggravation. AggraVvv… Vation. Après l'indifférence et les larmes, silence, vacarme, soupir et solitude : désir de sollicitude. Dès lors on aspire encore, à la vite on sollicite, et puis alors ? L'intervention d'autrui, le bruit, les autres, l'Enfer dit-on, enfer et damnation, une vive aggravation. Vvv… Voilà. F. K. sentait la sueur couler le long ses joues, et puis les larmes tièdes, tièdes comme le sang, le sang et l'eau, il avait soif, elle n'était pas folle, lui si, oui, oui, et puis alors ?
En sursis peut-être. Assoiffé, aggravé, anéanti peut-être. Au plus mal. Au plus mal. Au plus mal, voyez-vous, ça n'existe PAS. Il y a toujours plus que plus. Le mal est sans fin, sans fond, lacrymal abyssal, non pas tiède mais brûlant. La fièvre ça vous assoiffe comme la mort, et le désert. Passent les corbeaux, passent les charognes.
Elle était folle, mais prétendait que non, hurlait pourtant, tout comme lui, parlait trop, tout comme lui, parfois seulement. Réponse. Réponse. Réponse. Nulle réponse. Nulle aide. Nulle citoyenne. Une AAAAAAAAHAhahahaharistocrate. Au sang tiède, non pas tiède mais brûlant, une garce, une farce, une saleté, haïssable. Déjà vue. Déjà entendue. Ses humeurs, une rumeur, et ainsi de suite, à la vite on sollicite, puis on regrette, rejette, arrête. Le mal est un puits, et puis, et puis, et puis.
— Vvv… Voilà. Vous invoquez le temps, pour vous rassurer, hein, oui, hein, sans doute. Mais ici, oui ici, Madame, vous êtes folle. Folle, ma Reine. Folle. Folle. F… Hhh…
Murmures précipités, souffle court. Voix éteinte. Il avait soif, terriblement chaud, et soif. Renoncer est impossible, fuir n'existe pas. Le parc, les lieux, l'intervalle. Il avait bien sa petite idée sur la question. Franz, lui Franz, depuis si longtemps. Sans accalmie, ou si peu, quand tu retournes tes poches, la poussière te pique les yeux.
L'enfer, ou le pays de la soif, était-elle un corbeau, une charogne ? Dans ce désert sans nom, amer et sans fond, le parc, ça vous marque, et cet asile salit, avale, et avilit. Jusqu'à la mort ? Broyons-encore, Franz, encore. Encore. Encore. Encore. Encore. Encore. Encore. Encore, Franz, encore. Et puis alors ?
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Le silence en arbitre partial te crache à l'oreille l'horreur de ton mal le râle de ton malheur l'effroi s'avale et la terreur misère ou frénésie vents amers et leurs contraires animent
le grand incendie si chacun craint comme on espère quiconque devient poussière périsse poussière.