C'est l'histoire d'un psy qui repeint son plafond…
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Psyché

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Dim 04 Mai 2008 | 22:40  |
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Bon y'a pas de topic avec des blagues débiles encore, et celle-là m'a tellement fait rire que je voulais la poster ici :
Trois quinquagénaires attendent un quatrième pour faire un golf.
Alors que ce dernier est en train de régler les parcours, ils discutent du succès de leurs enfants respectifs.
Le premier :
— Mon fils a si bien réussi dans l'automobile qu'il a offert une Ferrari jaune à un très bon ami.
Le second :
— Le mien a tellement réussi dans l'immobilier qu'il a offert une maison avec piscine à un très bon copain.
Et le dernier :
— Le mien a si bien réussi dans la gestion financière, qu'il a offert un portefeuille complet à un de ses meilleurs amis.
Sur ce, le quatrième arrive, et on lui demande ce que fait son fils.
— Mon fils est homosexuel, il travaille dans un bar gay comme gogo-dancer.
Silence gêné des trois autres. Puis il ajoute:
— Mais il ne doit pas être trop mauvais, car dernièrement il s'est fait offrir une Ferrari jaune, une maison avec piscine et un portefeuille complet de valeurs boursières… _____________ Seul qui se perd entier est donné à lui-mêmeStefan Zweig |
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Max Traum

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Lun 05 Mai 2008 | 1:00  |
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Très drôle. A mon tour d'ajouter une petite blague :
Le Président George W. Bush fait le tour des écoles primaires afin de rencontrer tous les jeunes futurs votants du pays.
Il entre dans une classe et arrive au moment ou l'institutrice est en train d'expliquer aux enfants le sens du mot tragédie.
L'institutrice se tourne alors vers le Président et lui propose de diriger la discussion.
Ainsi l'illustre dirigeant demande aux jeunes élèves de trouver un exemple illustrant le sens du terme qu'ils viennent d'apprendre.
Un petit garçon se lève et dit :
"Si mon meilleur ami qui vit a côté de chez moi joue tranquillement dans la rue et qu'une voiture le renverse, ce sera une tragédie."
Bush secoue tristement la tête : "Non, mon petit… Ce serait un accident!"
Un léger silence s'installe dans la classe.
Le président insiste :
"Qui veut proposer autre chose ?"
Une petite fille se lève alors a son tour :
"Un bus scolaire transportant 50 élèves tombe dans le ravin, et tout le monde meurt dans la chute.
Ca, c'est une tragédie !"
Bush secoue la tête a nouveau :
"Non, petite, il s'agit la d'une Grosse perte pour le monde…"
Cette fois, c'est un lourd silence qui tombe sur le groupe.
Bush s'impatiente légèrement :
"Allons, les enfants ! Il n'y a personne pour me donner un exemple sérieux de tragédie ?"
Alors, petit Johnny du fin fond de la classe se lève :
"Si Air Force One alors qu'il transporte M. et Mme BUSH, est frappé par un missile et est pulvérisé en plein ciel, ça c'est une tragédie !"
"Fantastique !" s'écrie le Président, le visage illumine,
"Voila une superbe illustration du mot tragédie !
Et peux-tu expliquer a tes petits camarades la raison pour laquelle ce serait une tragédie ?
"Parce que ça ne serait pas un accident et que ça ne serait sûrement pas une grosse perte !" _____________ J'ai oublié à quoi vivre servait. |
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Edward Antivirus Invité
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Ven 20 Fév 2009 | 2:13  |
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Oh j'en ai une bien moche qui m'a fait trop rire !
Que dit-on à une femme qui a les deux yeux au beurre noir ?
…
Rien, on lui a déjà expliqué deux fois… |
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Le dirlo ergo sum

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Sam 21 Fév 2009 | 22:34  |
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Oh non…
(Elle est trop drôle )
Un homme à longue barbe blanche consulte un psychiatre. Le médecin l'accueille :
— Je ne connais pas encore vos problèmes, alors commencez par le commencement !
— Au commencement, je créai le ciel et la terre… _____________ Merdre. |
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Staccato

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Sam 07 Mar 2009 | 13:59  |
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Soeur Gertrude de l'Imaculée Conception et Soeur Clotilde des Anges se promènent tranquillement dans la rue. Tout à coup, Soeur Gertrude se retourne, puis chuchote :
"- Soeur Clotilde, je crois que cet homme nous suit !
- Mais… Vous avez raison ! Accélérons le pas.
-Il accélère également !
- Ne nous affolons pas. Voici ce que nous allons faire : au prochain croisement, vous partez à gauche et moi à droite. Je suis sûr qu'il s'arrêtera."
Les deux soeurs agissent comme convenu… mais l'inconnu continue de suivre soeur Clotilde. Désemparée, soeur Gertrude ne peut que retourner au couvent. Sa collègue la rejoint, les joues rouges, une heure plus tard.
"-Alors dites-moi, soeur Clotilde, que s'est il passé ?
- Eh bien, je me suis mise à courir !
- Et ?
- Il a couru aussi. J'étais à bout de souffle, j'ai du m'arrêter. Il m'a rejoint.
- Et ?
- Eh bien il a baissé son pantalon !
- Ooooh ! Et qu'avez-vous fait ?
- J'ai relevé mes jupes !
- Soeur Clotilde, comment osez-vous ?
- Ben quoi ? On court beaucoup plus vite avec les jupes relevées qu'avec le pantalon baissé !" _____________ Penchons-nous sur le néant : la fin de toute fiction personnelle. |
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